Sur les anneaux des invariants de Dickson modulo FX Dehon sous la direction de J Lannes

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Sur les anneaux des invariants de Dickson modulo 2 FX Dehon sous la direction de J.Lannes octobre 1994 Introduction Le present article vise a montrer qu'il n'existe pas d'espace Y dont la cohomologie a coeffi- cients F2 soit la sous-algebre des invariants de la cohomologie du 2-groupe abelien elementaire (Z/2)n pour l'action canonique du groupe de ses automorphismes Aut((Z/2)n) 1 , lorsque n est strictement superieur a 4. De tels espaces etaient connus pour n = 1, 2, 3; un recent article de Dwyer-Wilkerson en construit un pour n = 4. Bien sur on pourrait toujours les construire si les colimites existaient dans la categorie homotopique. Le resultat n'est pas nouveau, il est d'abord du a Numm puis a Jeaneret et Sutter par des methodes de K-theorie. La preuve proposee ici s'inscrit completement dans l'etude par Dwyer et Wilkerson des groupes de Lie homotopiques ([4]): l'espace des lacets d'un tel espace Y qu'on peut toujours supposer 2-complet, est un groupe 2-compact de rang n ? 1 dont on peut retrouver le tore maximal avec l'action du groupe de Weyl en analysant l'espace des applications du classifiant de V = (Z/2)n?1 dans Y . Precisement la composante connexe Z dans hom(BV, Y ) d'un ”homomorphisme injectif” de V dans ?Y s'interprete comme le classifiant du centralisateur dans ?Y des elements d'ordre 2 du tore maximal.

  • i?0 ?

  • cohomologie

  • wilkerson des groupes de lie homotopiques

  • recent article de dwyer-wilkerson

  • h?z

  • image de l'involution


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Publié par

Publié le

01 octobre 1994

Nombre de lectures

41

Langue

Français

Rapportscientiquepr´esent´epar
Philippe Jaming
alUniversit´edOrl´eans ` pour obtenir lhabilitation`adirigerdesrecherches
C ntributi ` o ons a lanalyseharmoniquer´eelleetcomplexe et`asesapplications
Avant Propos
Liste de publications
Contents
Comportement au bord de fonctions harmoniques Avant propos Distribution au bord des fonctions harmoniques 1. Introduction 2. Cas du groupe de Heisenberg Caract´erisationdelapluriharmonicite´ 1. Introduction 2. Cas des boules hyperboliques 3. Cas du groupe de Heisenberg Perspectives 1.Limitespond´er´eesdinte´gralesdePoisson 2.Caract´erisationdesinte´gralesdePoissondedistributions 3.De´compositionasymptotiqueetpluriharmonicite ´
Applications de l’analyse de Fourier Avant Propos Principes d’incertitude 1. Principe d’incertitude de Heisenberg 1.1. Principe d’incertitude de Heisenberg 1.2.Uneversionquantitativeduth´eor`emedeShapiro 2. Principes d’incertitude qualitatifs 3.Conditionsded´ecroissancerapide 3.1. Principe d’incertitude de Hardy 3.2.Th´eor`emeduparapluie 4. Perspectives de recherche Proble`mesdereconstructiondephase 1. Introduction 2. Seconde Mesure 3.Latriple-corr´elation 4.Leproble`medambigu¨ıte´radar 4.1.Leprobl`emecontinu 4.2. Signaux de type “trains d’ondes” 4.3. Signaux de Hermite
i
1
3
5 7 9 9 10 13 13 13 16 19 19 19 19
21 23 27 27 27 29 30 33 33 35 37 39 39 41 42 44 44 46 49
R´efe´rences
ii
51
Avant Propos
Cem´emoireestcompos´edetroispartiesessentiellementind´ependantes,dontleprincipal pointcommunestlerecoursa`destechniquesdanalyseharmoniqueetdanalysecomplexe. Lapremie`repartieestcentr´eesurl´etudedesfonctions harmoniquessur divers domaines. Enparticulier,nousnoussommesinte´resse´sauxproble`mesclassiquesducomportementau borddecesfonctionsainsiqua`lacaracte´risation`alaFeerman-Steindecertainsespaces fonctionnelsquellesde´nissent. Dansladeuxi`emepartie,nousavonse´tudie´desprincipes d’incertitudequi donnent des limitationsa`laconcentrationsimultan´eedunefonctionetdesatransforme´edeFourier.Ces principesadmettentdemultiplesformesmath´ematiquesdontlesplusc´ele`bressontduesa` Heisenbeg-Pauli-Weileta`Hardy.Nostravauxontconsiste´soit`adonnerdesformesplus pre´cisesdecesprincipes,soita`lese´tendrea`desoutilsdelanalysetemps-fre´quencetelleque latransform´eedeFouriera`feneˆtre,soit`aendonnerdesversionsnouvelles. Ladernie`repartiedenostravauxconcernelesprobl`emesdereconstruction de phasepour lesquelsoncherche`areconstruirelemieuxpossibleunefonctiona`partirdesonseulmodule et d’informationsa priorisceencissdeseniamodxuerbmonnsdeesdarantscourte`qneuB.ei applique´estelsquelacristallographie,lam´ecaniquequantique,letraitementdusignal...,ces questionsonte´t´eplutˆotignor´eesparlacommunaut´emath´ematiquepourquiellesconstituent pourtantund´eint´eressant.Cestlecasnotammentduaradtıe´gi¨uabmredeml`obprissu de lathe´oriedutraitementdusignalauquelnousnoussommesplusparticuli`erementint´eresse´s. Pour conclure cet avant propos, mentionnons que ces parties, bien qu’essentiellement inde´pendantes,ontuneunit´equide´passelesimplerecoursa`desoutilscommuns.Eneet, danstouslescasquenoustraitonsici,lesfonctionsontunestructureetsontde´termine´es par une “information partielle”. Parexemple,danslapremi`erepartie,on´etudiedesfonctionsharmoniques(informations structurelles)surundomaine.Celles-cisontentie`rementde´termine´esparunevaleuraubord (information partielle). Il s’agit alors de comprendre d’une part comment cette valeur au bordd´eterminelavaleurdelafonction`alinte´rieurdudomainecequiconduit`al´etude desinte´gralesdePoissonetdautrepart,enquelsenslavaleuraubordsobtientcomme limite de la fonction. Dansleprobl`emedereconstructiondephase,ondisposea`nouveauduneinformation partielle — le module|f|de la fonction inconnuef— et d’une information structurelle — furierdum´eedeFonoa`usppenofcnitexarplemptpeunartrofsteˆealerapmoctronO.tc cherchealorsa`savoirsicesdeuxinformationssusent`ade´terminerete´ventuellement`a reconstruirefeuqial,cepCs.dertenierpointnestenivas´gieicuqseuossonaspectth´eor algorithmiquerestant`ade´velopper. Dansl´etudedesprincipesdincertitude,laprobl´ematiqueestl´eg`erementdie´rentepuisquil sagitplutoˆtdecomprendredansquellemesureuneinformationpartiellesurft`usa b de´terminerfaP.dean`aexerelpmois,mednfersnofmre´deFeuoireast`raatfdˆetre extrˆemementconcentre´esalorsf.Cecennepareiestuquteersuisenagtˆeuepnmpxelele 1
2
caslorsquelaconcentrationestmesur´ee`alaidedeladispersion(principedincertitudede Heisenberg),ouparuned´ecroissancerapide(th´eore`medeHardy).Leth´eore`medeBenedicks implique des restictions encore plus fortes en termes de petitesse du support puisqu’il stipule quesi une fonctionfd-heelnentlusetisoeevisemeperuemnsedblsdorneumetsilamˆe choseestvraiepoursatransforme´edeFourier,alorsfest nulle partout version plus. Une quantitativeestdue`aAmreinetBerthierquiontmontre´que,sifetgsont proches endehors dunensembledemesurepositiveetsilamˆemechoseestvraiepourleurstransforme´esde Fourier, alorsfetgsont proches partout.
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