Rôle de la scintigraphie osseuse SO comme moyen diagnostique

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Rôle de la scintigraphie osseuse (SO) comme moyen diagnostique complémentaire dans les pathologies de l'appareil locomoteur chez le sportif Docteur Frédéric Paycha Unité de Médecine Nucléaire CHU Louis Mourier 92700 Colombes Capacité de Médecine & Biologie du Sport CHU Pitié-Salpêtrière, Paris, 2 mars 2010

  •  ch4na2o7p2 masse moléculaire

  • pathologies de l'appareil locomoteur

  • mtc dans la phase organique

  • mtc

  • oxidronate de sodium    dénomination

  • comparaison scintigraphie osseuse

  • os par spectrométries ?


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01 mars 2010

Langue

Français

Poids de l'ouvrage

6 Mo

Rôle de la scintigraphie osseuse (SO) comme moyen diagnostique complémentaire dans les pathologies de l’appareil locomoteur chez le sportif
Docteur Frédéric Paycha Unité de Médecine Nucléaire CHU Louis Mourier 92700 Colombes frederic.paycha@wanadoo.fr
Capacité de Médecine & Biologie du Sport CHU Pitié-Salpêtrière, Paris, 2 mars 2010
o o o o o o o o o
Plan de la présentation Technique scintigraphique oRadiopharmaceutiques (« traceurs ») oProtocole d’acquisition des images Démarche sémiologique en scintigraphie osseuse Problématique de la traumatologie du sport Aspects scintigraphiques en traumatologie du sport Comparaison scintigraphie osseuse-IRM Difficultés et pièges diagnostiques de la scintigraphie osseuse oHyperfixations physiologiques du squelette jambier chez le sportif oFractures pathologiques oAutres diagnostics différentiels 18 Progrès en imagerie corps entier: F-FNa TEP/TDM & IRM Conclusions Repères bibliographiques
Oxidronate de sodium
Dénomination commune internationale (DCI) Oxidronate de sodium Dénomination chimique Hydroxyméthylmène diphosphonate de sodium (HMDP) Formule développéeOH 2-+ HOPO HP C Na, 2 33
H
Formule moléculaire : CHNaO P 4 2 7 2
Masse moléculaire relative Forme acide : 191,99 Forme disodique : 235,96
a Biodistribution des radiobisphosphonates(1/2 )
Méthodologie
Modèle fracturaire
· Blessure ostéo-médullaire expérimentale du tibia chez le rat
·Injection double-isotope à J3-6-14:
99m99m32 99m3232 TcO4, Tc-MDP, Tc-MDP- P, Tc-MD- P, MD P
· Comptages des phases organique et inorganique de l’os par spectrométries γ et β
b Biodistribution des radiobisphosphonates(1/2 )
Résultats
Modèle fracturaire
99m32 · Accumulation duTc dans la phase organique et duP dans la phase minérale de l’os 99m · LeTc-MDP serait hydrolysé dans le tissu osseux[Schwartz 1993]
Biodistribution des radiobisphosphonates (2/2) Modèle fracturaire (Burr & Milgrom, 1990)
a) Dispositif expérimental d’induction de fracture de fatigue du tibia du lapin
b) Corrélation radio-scintigraphique
c) Aspect anatomo-pathologique de micro-fissures(micro-cracks)
Interférences sur image scintigraphique Effet d’une administration aiguë ou chronique de bisphosphonates thérapeutiques
99m Interférence EHDP– Tc-MDP (Watt et coll. Brit J Radiol 1981)
Cas clinique d’interférence 99m EHDP– Tc-MDP
Premier pré-requis pour une interprétation optimale :
Un protocole d’acquisition des images standardisé
METHODOLOGIE SCINTIGRAPHIQUE (1/2)
Positionnement rigoureux (symétrique) du patient Injection IV en embole de 99mTc-bisphosphonate (8-10 MBq/kg) Acquisition dynamique en 3 (ou 4) phases: Phase angiographique (+/-) : 30 images de 2 sec Phase tissulaire (précoce): 1 ou 2 image(s) de 300 k événements Phase osseuse (tardive): images de 300-600 k événements 2-4 heures après l’injection Phase hypertardive (+/-): images de 10 min > 6 heures après l’injection (Spitz 1992)
·
METHODOLOGIE SCINTIGRAPHIQUE (2/2)
Incidences comparatives multiples de type radiologique (Schutte 1980, Lescout & Bussy 1996) Format image: 128 x 128 ou 256 x 256 Balayage corps entier systématique (format 256 x 1024) (Nagle 1985) Indices de fixation, courbe d’activité en fonction du temps (TAC) (Holmberg 1985, Spitz 1992) Acquisition SPECT ou SPECT/TDM (s’applique au rachis mais aussi aux ceintures et au squelette jambier ++) Au total : Résolution spatiale effective = 7-8mm
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