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Français
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Cette comédieen
3
Les FourberiesdeScapin
actes
Molière
et en prosea été crééeuPaalaisRoyal
le
24
mai
1671 . Elle s’inscritdans la tradition de la comédieitaliennedanslaquelle
Molièredaéjàexceluaéldébutaacesdrrière(l'Étourdi, 1655) et vientàla
suitedes grandespièces,le Tartuffe(1664),Dom Juan(1665),le
Misanthrope(1666) . Elle ne connaîtlorsdsecaération qu'un faiblesuccès.
Il estalorsreprochéà Molièrela grossièreté de ses procédéscomiqueset
l'immoralité dusujet. Boileau
l'exagéracaesndiotractères.
critique soncôtépopulaireéFtenelon,
RésumdéuresFoberies de Scapin
ActeI
NaplescO.taevaépouséensecretHyacinthe, une jeuneorpheline a qu’il
rencontréeparhasard met dont il est tobéimmédiatementamoureuxes.lI
désespèreen raisonuredtourprématuréèpnosedreArgante. En effetce
dernier, qui ignorecemariage ou, shaiatmelerier à la fille de sonami
Géronte, une jeuneinconnuequi a momentanémentdisparu.
Le filedéGsron,eéLtandrese,uitlsecrètementamoureuxeZerdbinetteune
jeuneesclaevég ypitredetteC.ennenièrerisqued’êtreenlevéeésLianerend
rachèasrateppidementsa liberté.
Octave se confieaScàpinl,vealetnedosamiLéandre.Scapinestunvalet
rusé, jamaisàocruti ’ddées: « uA vosdiévalrerité, il y a peu de chosesqui
me soientimpossiblesnuaq,dje m'en veuxmêler . J'ai sansdoutereçudu
Cielugnénieassezbeau pour toutesles fabriquesde ces gentillesses
d'esprit, de ces galanteriesingénieuses, à qui le vulgaire ignorantdonnele
nom de fourberies; et je puisdiresansvanité qu'on n'a guèrevu d'homme
qui fûtplus habile ouvridreeressortset d'intrigues, qui aitacquisplusde
gloireque moi dans cenoblemétier. Mais, ma foi, le mérite est trop
maltraiuaétjourd'hte,iureaij'noncé à touteschosesdepuiscertainchagrin
d'uneaffaire qui m'arriva».
Touchéal’ap r mo urdes deuxjeunesgensmitepatientd'essayer de nouvelles
rusesS,acpinaccepte de lesairedlI . av a’sttaruecreophclala collaboration
de Silvesav,ertletd c’Otave.
LevieilArgante est fou de colère , car il vient d’apprenlerdameriagesecret
de son filetmsenaéedeledcshériter. C’estalors qu’intervientScapinqui
faitcroireau vieil homme que son filya,santétésurprischez sa belle, n'a eu
d'autreissued euq él’e pouser. Toutatsp n e’sperd,usuggèrefourelbe
Scapinfelrèrac,redeHyacintheseraitapêràtnurrangementenéchange
d’une fortesomme d’argent r. La focede conviceSndcaiotpin, puisles
menacesph ysiqueseprédectenfuèrdre( en fait, Sylvesvalee,trlet
compliceéd,guis)éaprviennentà convaincreArganlI.eérestsigne à donner
les deuxcentspistolesSàacpin.
ActeII
.
Celui-ci vientde rentrerde
Scapindécidealors a’s edttaGéràueqronte
voyaegatettend l’arrivée sa fille qu’il a fai detéleTaràveren a li’uq te et
promiàOcsetave le fils de sonaAirmganetrlI.eproche d’ailleuràcse
dernid’r eavoiréalmlevé son fils, ce à quoi Géronuirételpliqg,euârceaux
argumentsfallacieuxedcSapinque lui a faitbien pireavecson filLésandre.
C’est alorsa’uq rrieLévanqueGdreéroneterpousse,aprèsavoir mentionné
l’aveucSedapin.Léandre, tout d’abordfurieux, souhaitseevenegdre
Scapin, maisilfinitparsupplier’l habileresviteur de lui trouverlasomme
d’argentnécessairerepiuliuqmettra de racheter celle qu’ilaime.Scapin
déci sde’aedd no cttaquer cette foisGàéron fai luite : iltcroireque son fils
a étéenlevé et qu’il est retenu dans une galèterruque. Il ne pourraêtre libéré
quecontrele paiement d’une rançonde quinze-centécus. Le vieilhomseme
lamen:e«tQue diabelallait-il fairedans cette galère ?» et essayepotraus
les mo yens d’échapper au paiementde la rançon. Il finittoutefoispar laisser
sabourseaàScpindeéuqsipêedcehdonrl a’nregentàéLanceetOdrtave.
MaisScapin ne souhaipatesen resterlà. Il veutsevengreedGéronui,àteq
lasuiam etnu’dlentendu, a faitdouterLéanrededysaloauté.
ActeIII
Scapinet Sylvestre, les deuxserviteursparviennentàrassurerHyacintheet
Zerbinette et leur indiquer qu’ilsontbonesedriopvain ercl’hostilité des
deuxvieillardsteedsauurerlevsamours.
Vientensuieletmtepsenaveldgeance.ScapnéripvientGéronte que des
hommessontearàscherrapehccena te li’uq téderompremealriage
d’Argante. Ilssouhaitentlui faireun mauvaissort.Afindevenir enaide au
vieilhomemS,acpinpropoàGéesronte de se dissimulerueadnusnqcas
Scapindésepêdeechfermer. Contrefaisantsa voixet jouantplusieursrôles,
il le rouede coupsdebâton.MaisGéronte finitpraédcouvrir la supercherie.
Scapindoit s’enfuir. C’estalorseZrqeubinterétevèle i mpudemmentà
Géron’eulql e ,eetn connaîts pal’, histoiedalagrelère qui apermisàScapin
de lui soutirer quinzecentécuséG.ronetteArgante se retrouventeest
promettentesdevenrdgecaeSpin.éGrontseuohaitemêmefairependrele
valetrusé. Une coïncidence miraculeusepermettSàacrapinde se tirer
d’affairGée:ronaetpprend l’on a re quetrouvé sa fille et que celle-ci n’est
auretequHyacinthe. C’estalorsqueLéandre montrele bijouqueportait
Zerbinetteenfantlorséseleuqgyptiens l’ontenlevéeG.ârceà ce jo yau,
Arganeterconnaîtleilé.Lafsandre peutainsi l’épouser. Tout s’arrancnodeg
idéalementas4leurpomoureux.C’estalors qu’onannonceeScqaupina
reçutaêsurlteumnrateaumotbé d ’un échafaudage. Il est à l’agonie, ce qui
lui vautd o’bterparielndondes deuxvieillards. Cette indulgenceiuerldonne
goûtà la vieetildemanrpono’u el q edtetalaàble fesd utin.