Théodore BARON juin mars par Grandjean de Fouchy
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Niveau: Secondaire, Lycée
134- HISTOIRE DE ~ACADEMIE ROYALE ÉLOGE jDJ~ ~f. BARON. '*f~ HÉODOREBARON Docteur-RégentdelaFacultéde JL Médecinede Paris,ancienProfeuëurauxÉcolesdela mêmeFacutté&CenfëurroyaldesLivres,naquità Parisle i/ Juin ï d'Hyacinthe-ThéodoreBa on,DocteurenMédecine delamêmeFaculté,& deMariePeiiemoine,tousdeuxd'hon- nêtefamille;celledeM.Baronenparticulier,étoitattachéeà fa Médecinedepuisprèsdecentcinquanteannées&.y tientencore par un frèrede celuidontnousfaifbnsl'éloge,qui l'exerceà ParisavecdIfUnction. Il fit fesétudesauCoitégedeBeauvais& il étoitenPhi- lofophiefousM. Benêt,lorfquececélèbrePrteneurmourut. HeureufëmentpourM. Baronil futremplacéparM. Rivard, dontl'eipritgéométriqueletrouvafympathifermerveitleufentent aveclesèmedujeuneEtudiant,& il s'étabtitbientôtemr'e.sx uneétroîteliailonlefruitenfutuneconnoina~ceaffezétendue desMathématiquesquepritM.Baron,connoifîàncetoujoursutile à ceuxmêmequinefontpasMathématiciensdeprofeflioli. Pendantcemêmetemps,il étudioitleséiémensdeChimie fousundefeson
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- mémoire
134- HISTOIRE DE ~ACADEMIE ROYALE ÉLOGE jDJ~ ~f. BARON. '*f~ HÉODOREBARON Docteur-RégentdelaFacultéde JL Médecinede Paris,ancienProfeuëurauxÉcolesdela mêmeFacutté&CenfëurroyaldesLivres,naquità Parisle i/ Juin ï d'Hyacinthe-ThéodoreBa on,DocteurenMédecine delamêmeFaculté,& deMariePeiiemoine,tousdeuxd'hon- nêtefamille;celledeM.Baronenparticulier,étoitattachéeà fa Médecinedepuisprèsdecentcinquanteannées&.y tientencore par un frèrede celuidontnousfaifbnsl'éloge,qui l'exerceà ParisavecdIfUnction. Il fit fesétudesauCoitégedeBeauvais& il étoitenPhi- lofophiefousM. Benêt,lorfquececélèbrePrteneurmourut. HeureufëmentpourM. Baronil futremplacéparM. Rivard, dontl'eipritgéométriqueletrouvafympathifermerveitleufentent aveclesèmedujeuneEtudiant,& il s'étabtitbientôtemr'e.sx uneétroîteliailonlefruitenfutuneconnoina~ceaffezétendue desMathématiquesquepritM.Baron,connoifîàncetoujoursutile à ceuxmêmequinefontpasMathématiciensdeprofeflioli. Pendantcemêmetemps,il étudioitleséiémensdeChimie fousundefeson
- véri- table intérêt des jeunes praticiens
- jeunes gens
- véritable application des principes
- histoire de l'academie royaler
- brmé dans le borax
- borax avec le fet ïédatif
134-
HISTOIRE DE
~ACADEMIE
ROYALE
ÉLOGE
jDJ~
~f.
BARON.
'*f~ HÉODORE
BARON
Docteur-Régent
delaFacultéde
JL
Médecine
de
Paris,
ancienProfeuëur
auxÉcoles
dela
même
Facutté
& Cenfëur
royal
des
Livres,
naquit
à
Paris
le
i/
Juin
ï
d'Hyacinthe-Théodore
Baron,
Docteur
en
Médecine
de
lamême
Faculté,
&
deMarie
Peiiemoine,
tousdeuxd'hon-
nête
famille;
celle
deM.Baron
en
particulier,
étoit
attachée
àfa
Médecine
depuis
près
de
cent
cinquante
années&.
y
tient
encore
par
un
frère
de celuidont
nous
faifbns
l'éloge,qui
l'exerce
à
Paris
avec
dIfUnction.
Ilfit
fesétudes
au
Coitége
de
Beauvais
& il étoitenPhi-
lofophie
fous
M.
Benêt,
lorfque
cecélèbre
Prteneurmourut.
Heureufëment
pour
M. Baron
il fut
remplacé
par
M.
Rivard,
dont
l'eiprit
géométrique
le
trouva
fympathifer
merveitleufentent
avecle
sème
du
jeune
Etudiant,
& il
s'étabtit
bientôtemr'e.sx
uneétroîte
liailon
lefruit
enfut
une
connoina~ce
affezétendue
des
Mathématiques
que
prit
M.
Baron,
connoifîànce
toujours
utile
à ceuxmême
qui
ne
font
pas
Mathématiciens
de
profeflioli.
Pendant
ce
même
temps,
il
étudioit
les
éiémens
deChimie
fousun
defes
on<tes,
habile
Apothicaire
à
Paris,
& il
porta.
danscetteétude
t'dprit
de
précinon
qu'il
avoit
pu!(é
danscelle
des
Mathématiques:
cette
manièred'étudier
la
Phynque,
étoit
bien
propre
à
y
faireles
plusgrands
progrès
il fortiteneffet
defescours
de
Phiio~phie
& de
Chimie
.en
état
defuivre
par
lui-même
l'étude
de
cesdeux
Sciences.
Ses
premières
études
n'étoient,
pour
ainn
dire,
qu'un
préli-
minaire
de
cellede
la
Médecine,
à
laquelle
foninclination
le
portoit
&.dont
faiiaiffaiice
luiavoit
prefque
fait
une
loi. On
tait
que
iesÉtudiatis
en Médecine
font
affliiettis
à
prendre
des
leçons
de
plufieurs
Proféneurs
unheureux
hafard
luifittrouver
aunombre
de
ces
Promeneurs,
lecélèbreM.
Bourdeiin,
Membre
de cetteAcadémie
quel
tréfbr
pour
un
jeune
Chimifle
auui
Moubi~-t-H
pas
d'en
profiter.
H
s'attacha
demême
à feu
M.
