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2017
Écrit par
Kevin Ace
Publié par
contact164
PLAISEAUTRIBUNAL
OBSERVATIONSSURLESREPLIQUESDESAVOCATS
D'UNIVERSALMUSICLESFAITSETLAPROCEDURE
«.ét sIPOLses coéiARITZA MTIS et Msuosidé-CISU te ncrapae e té Fen éiéts co ralestidéoc tl rap eé
WARNERCHAPPELLMUSICFRANCE etafaitl’objetd’uneinterprétationparMonsieurDavidHALLYDAY
dontlasociétéUNIVERSALMUSICFRANCEaproduitunenregistrementphonographique».
Comme le précise très justement les avocats de la SACEM en page 6 de leurs conclusions en
défense,lesinformationssoutenuesparUNIVERSALMUSICsontinexactes.
LESDEMANDESDEMONSIEURNACERAMAMRA
LasociétéUNIVERSALMUSICFRANCEquin’estqu’unutlisateurdelachanson«Tunem’aspaslaiséle
temps»surlaqueleelen e’ts pas itulairedesdroitsd’auteur,entendfairesienslesmoyensdedéfense
desauteurs,coéditeursetsous-éditeurdecetechansontendantaurejetdetouteslesdemandesde
MonsieurNacerAMAMRA.
LasociétéUNIVERSALMUSICFRANCEminimisesonrôledansceprocès.
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LA SOCIETE UNIVERSAL MUSIC est la maison de disques du label Mercury qui a reçu en 1997 le
double album de Monsieur Nacer AMAMRA.
En d'autres termes, Pascal Nègre (PDG d'UNIVERSAL MUSIC FRANCE) était le supérieur hiérarchique en
1999deMonsieurYan-PhilDP( CNALB epiI lsbaleudl yr ,ercuel M labG du Pnt dDG es dnasiamagé emel
édtionsWARNERCHAPPELLMUSICFRANCE).
AucunartistequidépenddelaprestigieusemaisondedisquesUNIVERSALenFranceviasatrentainede
label(flialesdemaisonsdedisques)nepeutêtreproduitsanspaserparlamaison-mèreetencoremoins
M.HALLYDAYjuniordirectementrecommandéparsonpèreàM.NEGRE.
“J’ignore si c’est après leur duo au Stade de France qu’il en a éprouvé l’envie, mais Johnny (HALLYDAY)
me propose de réaliser un album avec son fils (David HALLYDAY). Excelenteidée.Davidn’écrivantque
desmusiques, vait suivi l’enrergaiistttrseqmieenutq dieu a la, ir dtrece icaC àilorM enOKLOje nde dema
«Cequejesais»,detrouvertextesquitiennentlaroute.”
Source:PascalNègre"Sanscontrefaçon"page118et119
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Lacontrefaçon
Sur ce point tout a déjà été précisé et a fait l'objet d'une argumentation très claire dans les réponses à
WARNERCHAPPELLMUSICFRANCE.
. «.MonsieurGérardSPIERSquiestleplusconnudesexpertsjudiciairesmusicologuesdontles
conclusionssontsansappel»:
Plusconnupourquoi?PourdéfendrelesintérêtsdesMajors.
Parmiles13000expertsjudiciairesenFrance,MonsieurGérardSPIERSdansledomainedelamusiqueest
efectivementrenommépourserangersystématiquementducôtéduplusofrant.
.
M.FLORENCE n'est pas le seul à confondre alègtnl eremotir aoné étecava lmpconetée ec t
l'honnêteté.
«dontlesconclusionssontsansappel»:
PourquoilesconclusionsamiablesdeM.SPIERSseraientindiscutables?
Lesconclusionsamiables deM.SPIERSnesontquedesobservationsamenéesparWARNERCHAPPELL
MUSICFRANCEpoursedisculpergrâceàleur«expert»inscritsurlalistedespersonnessusceptiblesde
travailocèss prappe en aPird e red susem dsaà ai mdeaninu te l tnemeuqens ecave libtralun re
l’occurencecen'estpasdutoutlecasdanscedosier.
LesavocatsdelasociétéUNIVERSALMUSICFRANCEtententenvaind'insinuerqu'ilyauraitunelégtimité
àdonnercrédit auxobservationsetavisdeceM.SPIERSqu'ilsdésignentavecletermepompeuxde
«conclusions».
L’amateurisme de l'analyse produite par Monsieur Gérard SPIERS (né en 1946, il approche de la limite
d'âgepourêtreinscritsurlalisted'expert)dansceteafairequicommetoutlemondepeutleconstaterest
bâclée,confuse,inexacte,tronquéedeparoles(l'élémentleplusesentieldansunechanson)cequil'a
rend très suspecte dans la mesure où ce « spécialiste de la contrefaçon » (d'après son CV) est
automatiquementsoll sei tnrétê,st antôt de la socité éNUVIREAS iLcUiMS IpCt éFrR AoNuCfEe dérend
tantôtceuxdeWARNERCHAPPELLMUSICFRANCEetparfoismêmedesdeuxsociétésàlafois(comme
c'estlecasdansceprocès).
Évitonslesconfusionsgrossièrementprésentéespartouteslespartiesadversesquiveulentfaire
croirequeMonsieurGérardSPIERSestuneréférenceenmatièred'expertise.
Ceseraitplutôtlecontraire.
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Leparasitisme
Sur ce point tout a déjà été précisé et a fait l'objet d'une argumentation très claire dans les réponses à
WARNERCHAPPELLMUSICFRANCE.
Cliquezau-desuspourlaversion"livre"eticipourlaversionpdf.
CONCLUSIONETRAPPEL:
L'idenité(vocaleetvisuelal te euqitsitrae brfia le,irtoiasul u no « Tnson chal'univers, l'his)e ,ses»de
M.AMAMRAontserviaconceptualiserle«produitmarketingDavidHALLYDAY»,financéparlasociété
UNIVERSAL MUSIC FRANCE (Monsieur Pascal NEGRE), lancé sur le marché du disque français et géré
parlelabelMercuryetl'éditeurWARNERCHAPPELL-MUSIC-FRANCEdontMonsieurYann-PhilipeBLANC
étaitleresponsabledesdeuxsociétésàlafoisaumêmemoment.
Madame MOLKO était en 1999 la directrice artistique pour UNIVERSAL MUSIC FRANCE qui fut pendant
quatorzeansceledeJohnnyHALLYDAYmaiseleétaitausiceledeDavidHALLYDAYàl'époque.
Jusqu'à début 2015, Caroline MOLKO était la responsable des édti RENRAW sno-ICUS-MLLPEAPCH
FRANCE,leplusfaroucheadversairedansceprocèsencontrefaçon.
Lespartiesmusicales(samplesoucelulesmusicales)quiontserviàconstruireleparastismemaquilant
maladroitement la contrefaçon du texte de la chansons ltia'ts démens élt des noueesigrangements
d'ancienneschansonsdurépertoirede lasociétéUNIVERSALMUSIC.
Ces chansons ont été enregistrées avant la date d'homologation à la SACEM de celui du demandeur.
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Ainsi en cas d'accusation de contrefaçon, si malgré toutes les précautions prises, l'issue du procès
sembleseprofilerenfaveurduplaignant,lamaisondedisquespouratoujoursapporteraujuge,en
dernierrecours:"lapreuveimparable","leurjokerabsolu"quelemorceauduplaignantprétendant
s'êtrefaitplagiern'estpasdutoutdelacompositiondudemandeurenl'occurencepuisquecete
même maison de disques avait fait auparavant enregistrer des chansons comportant les mêmes
caractéristiquesmusicalesavecdesarangementssimilairesàceuxdelachansonmiseencause.
Leplaignantsetrouveraalorsaccusélui-mêmedeplagiat!
Extrait:Courd'AppeldeParis–Pôle5–Chambre1/ARRETDU15JUIN2011
Document avancé par Nicolas BOESPFLUG, avocat aitréd'UNIVERSAL
Qu'enrevanche,ilrésulte.
En d'autres termes, UNIVERSAL MUSIC a réintroduit des éléments d'arreuvs tsen’œ damegn
anciennespourservirdebase,pourreconstituer,retravaileretréécrirele(s)titre(s)àcontrefaire!
Danslepiredesscénariosoùcesmorceauxontétéreconnusparleursvéritablescréateurs(commec'est
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le cas pour Monsieur AMAMRA), quand ceux-ci intentent un procès et sont en voie de le remporter,
UNIVERSALMUSICpouraendernierrecoursavancerlefaitqu'aucunecontrefaçonmusicalen'existecar
lesélémentsconsitec eitud sftn ço snentcofare ed seiosnemtné élni pont ni mlus ad's rangements
enregistrésantérieurementauxdeuxchansonsltigieusesquifontl'objetdecemêmeprocès.
Aucunrisqueenl’occurencepourM.HALLYDAY,nipoursonhonneurousacrédiblitéd'artiste.
Danscetefictionromantico-nostalgique«Tunem'aspaslaiséletemps»,lerôleprincipalétaitatribué
au jeune premier : le chanteur David HALLYDAY qui formait un tandem soudé avec son faire-valoir tout
ausiprestigieuxdanslemlieumusical:leparolierLionelFLORENCE,scénariséparlelabelMercuryet
son PDG Yann-PhilipeBLANC,maquiléetarangéparsadirectriceartisteCarolineMOLKO,valorisé,
difd noNAECP GD telELL-HAPPC-FRMUSI euitta'é n qreut asu étem sie tidé rueNRAWC REavn t anr pan so
Yann-Philaeupxi mane tneif nB ALCNe tes,c'est-à-direàlaproduction,nousretrouvonslaprestigieuse
maisondedisquesUNIVERSALMUSIC(sansqui,rienn'auraitétéposible)dontleresponsableestencore
aujourd'huiM.PascalNEGRE.
D'aileurs M. PacslaN GEERe tsa ORl OLEG àACet rquea maer riova'd ésuccouéct ai fets mitedu
«FEUDEWILLIAL»écritetcomposéparSergeDIDIERetArnaudPIERRAT.
Contrairement à M. AMAMRA, les demandeurs n'avait aucune preuve contre le PDG d'UNIVERSAL.
Extrait:Courd'AppeldeParis–Pôle5–Chambre1/ARRETDU15JUIN2011
Document avancé par Nicolas BOESPFLUG, avocat aitréd'UNIVERSAL
Les autres personnages de ce film sont loin d'être secondaires mais comme ils demeurent inconnus
du grand public, ils ne figurent(au même titre que les machinistes,preneurs de son)qu'au
gén