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Français

Léger et Cendrars : une poétique de la modernité
I) « La guerre cubiste » ou l’œuvre d’art comme reflet de son époque (1914-1918) : « Il n’y a pas plus cubiste qu’une guerre comme celle –là qui te divise plus ou moins proprement un bonhomme en plusieurs morceaux et qui l’envoie aux quatre coins cardinaux » lettre de Léger à Jeanne (1915, front de l’Argonne) Supports : - Lettres de Léger (front de l’Argonne, 1915) - J’ai tué, de Cendrars, extrait (1918)
- Poèmes à Lou, Alcools d’Apollinaire (1914-1916) => une écriture cubiste :
la suppression de la ponctuation brouille les repères et permet des
lectures multiples => accentuation de l’incertitude, de l’ambiguïté qui
souligne la complexité des états psychologiques.
II) Après la guerre :La figure objet principal d'un monde meilleur où l’esthétique de la modernité entretient des échanges entre capitales. ( un nouvel ordre ?) Supports : - Le Ballet mécanique, film de Léger - son oeuvre Fernand léger
- La Prose du transsibérien, de Cendrars
- L'esprit nouveau dans L'architecture de Le Corbusier et de ses collaborateurs Pierre Jeanneret,Charlotte Perriand
=> « les ouvriers de la beauté ». La machine comme incarnation de la beauté visant l’ordre et la précision= la beauté moderne.
III) Le monde des objets : l’objet au cœur de l’œuvre de Léger. « La peinture ancienne c’est le sujet. L’art de nos jours, c’est l’objet » Léger, 1928 et « le spectacle permanent » c’est la rue. Supports :
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