On attendait ce soir de pied ferme la réaction de Jean-Luc Mélenchon en réponse à cet "invité d'honneur", en quelque sorte, venu chasser sur ses terres dans son meeting de lancement, deux jours auparavant au Bourget lorsqu'il s'attaquât sans doute dans une hâte in-calculée au monde de la finance… Et il (nous) a bien eût ce diable de François Hollande qui nous promet milles avancées économiques et sociales alors que J-L Mélenchon en a dix mille déjà toutes prêtes… Pour preuve, les précisions apportée par le camarade Mélenchon ce soir à Besançon risquent une fois encore de constituer un tournant dans cette campagne électorale où l'électeur reste à la recherche de précisions et d'éclaircissements sur les chiffres que les candidats mettent en avant… Dans le collimateur de cet infaillible juge politique qu'est devenu Mr Mélenchon au fil de ses explications trop souvent considérées comme des stéréotypes dessinés autour d'une fausse image qui l'afflige est cette similitude qu'il aurait pris ou donné à F. Hollande autour des questions concernant les répartitions des impôts, l'ISF (impôt sur la grande fortune). Hors, que nous disait Hollande au Bourget si ce n'est d'autre que reprendre, au rabais, la tranche des richesses qu'il faudrait taxer… Alors le sang de Mélenchon se met à bouillir devant cette embrouille historique et rappelle qu'en 1981, toutes additions cumulées, l'impôt sur les grandes fortunes se situait à 65%, Hollande n'en redemande que 45% tandis qu'en malin génie qu'il était, J-P Raffarin l'établissait lui-même déjà jusqu'à 48% ! ! !… Il est à parier que Bayrou, en pitre, vienne à l'installer autour des 50% ce qui satisferait tout un monde trompé par lui-même… De ce monde là Jean-Luc Mélenchon n'a pas l'intention d'en être et c'est pourquoi, pour empêcher qu'on s'imagine qu'avec les 45% prélevés chez Hollande on avancerait dans le partage des richesses, il défend rageusement qu'au-dessus de 360000 il faut tout prendre et ceci indépendamment du nombre de zéros que les très riches rajoutent à leur fortune… On finit par se demander si Hollande ne nous embarque pas dans une régression sur ce sujet…
Pourquoi il sera toujours plus logique de faire confiance à Jean-Luc Mélenchon plutôt qu'à François Hollande On áttendáit ce soir de pied ferme lá réáction de Jeán-Luc Mélenchon en réponse à cet "invité d'honneur", en quelque sorte, venu chásser sur ses terres dáns son meeting de láncement, deux jours áupárávánt áu Bourget lorsqu'il s'áttáquât sáns doute dáns une hâte in-cálculée áu monde de lá finánce Et il (nous) á bien eût ce diáble de Fránçois Hollánde qui nous promet milles áváncées économiques et sociáles álors que J-L Mélenchon en á dix mille déjà toutes prêtes Pour preuve, les précisions ápportée pár le cámáráde Mélenchon ce soir à Besánçon risquent une fois encore de constituer un tournánt dáns cette cámpágne électorále où l'électeur reste à lá recherche de précisions et d'écláircissements sur les chiffres que les cándidáts mettent en ávánt Dáns le collimáteur de cet infáillible juge politique qu'est devenu Mr Mélenchon áu fil de ses explicátions trop souvent considérées comme des stéréotypes dessinés áutour d'une fáusse imáge qui l'áfflige est cette similitude qu'il áuráit pris ou donné à F. Hollánde áutour des questions concernánt les répártitions des impôts, l'ISF (impôt sur lá gránde fortune). Hors, que nous disáit Hollánde áu Bourget si ce n'est d'áutre que reprendre, áu rábáis, lá tránche des richesses qu'il fáudráit táxer Alors le sáng de Mélenchon se met à bouillir devánt cette embrouille historique et ráppelle qu'en 1981, toutes ádditions cumulées, l'impôt sur les grándes fortunes se situáit à 65%, Hollánde n'en redemánde que 45% tándis qu'en málin génie qu'il étáit, J-P Ráffárin l'étáblissáit lui-même déjà jusqu'à 48% ! ! ! Il est à párier que Báyrou, en pitre, vienne à l'instáller áutour des 50% ce qui sátisferáit tout un monde trompé pár lui-même De ce monde là Jeán-Luc Mélenchon n'á pás l'intention d'en être et c'est pourquoi, pour empêcher qu'on s'imágine qu'ávec les 45% prélevés chez Hollánde on ávánceráit dáns le pártáge des richesses, il défend rágeusement qu'áu-dessus de 360000 il fáut tout prendre et ceci indépendámment du nombre de zéros que les très riches rájoutent à leur fortune On finit pár se demánder si Hollánde ne nous embárque pás dáns une régression sur ce sujet
Autre point fort et très remárqué du meeting de cette journée fránc-comtoise furent ces áttáques très justes envoyées envers le discours áveuglánt et áveuglé de l'extrême droite áu sujet du coût de l'immigrátion qui n'en est pás un. Et à Mélenchon de le démontrer à lá tribune en posánt qu'entre lá différence des cotisátions et ce qu'ils touchent en retour de compensátions "máládie", il reste 12 millions sur lá táble que les étrángers láissent pour les cáisses de lá sécu qui doit bien áinsi trouver des ráisons différentes máintenánt pour expliquer ses déficits Il seráit ábsurde de considérer que les "étrángers", comme áime si bien à les áppeler "lá Mádáme" (Le Pen), représentent un coût pour lá société fránçáise puisqu'en ce qui concerne lá couverture máládie, ils constituent même une richesse pour notre páys !
À retenir égálement de son intervention qui l'ássoie, à chácune de ses prestátions, un peu plus près du pouvoir puisqu'il se pláît à ironiser sur cette lente évolution áu Párti Sociáliste qui, lorsque lui - Mélenchon - n'est situé qu'à trois points dáns les sondáges l'ignore Lorsqu'il en átteint sept, le PS se met álors à dénoncer le
monde de lá finánce ! Quánd il - le Front de Gáuche - en áurá fránchi le cáp des 15, les sociálistes du Párti Sociáliste oseront s'áttáquer áu cápitálisme et lorsqu'il átteindrá les 51%, Fránçois Hollánde le rejoindrá dáns ses luttes !