La première chose que revendique le candidat "commun" à l'élection présidentielle de 2012 du Front de Gauche est son appartenance au Socialisme… En effet, il n'insiste de préciser qu'il a quitté un Parti et non une philosophie ni les programmes politiques visant à briser l'austérité et la récession pour aboutir à plus de justice sociale, répartir différemment la richesse du capital pour favoriser le développement et la protection du secteur public… Un peu comme Georges Marchais quittât le Programme Commun et le socialisme à quelques attaches près ! Eh oui, aujourd'hui on retrouve un socialiste et une communiste unis dans le Front de Gauche pour remporter la Présidentielle ! Certes à l'époque il s'agissait de deux hommes réunissant deux formations politiques jusque là encore plutôt antagoniques, s'associant pour venir à bout de la citadelle des droites tandis que là, nous avons affaire aux femmes, Clémentine Autin et Marie-George Buffet toujours aux avant-postes de la lutte anticapitaliste et de la défense des droits des citoyens et Jean-Luc Mélenchon, devenu l'orateur que l'on sait, depuis une déclaration des voeux 2012* plus que grandiose…
La première chose que revendique le candidat "commun" à l'élection présidentielle de 2012 duFront deGauche estson appartenance au Socialisme… En effet, il n'insiste de préciser qu'il a quitté un Parti et non une philosophie ni les programmes politiques visant à briser l'austérité et la récession pour aboutir à plus de justice sociale, répartir différemment la richesse du capital pour favoriser le développement et la protection du secteur public… Un peu comme Georges Marchais quittât leProgramme Communet le socialisme à quelques attaches près !
Eh oui, aujourd'hui on retrouve un socialiste et une communiste unis dans leFront de Gauchepour remporter la Présidentielle ! Certes à l'époque il s'agissait de deux hommes réunissant deux formations politiques jusque là encore plutôt antagoniques, s'associant pour venir à bout de la citadelle des droites tandis que là, nous avons affaire aux femmes, Clémentine Autin et Marie-George Buffet toujours aux avant-postes de la lutte anticapitaliste et de la défense des droits des citoyens et Jean-Luc Mélenchon, devenu l'orateur que l'on sait, depuis une déclaration des voeux 2012* plus que grandiose…
Un parler direct, sans tournures poétisées allant droit au but des questions et des problèmes qui vont secouer cette Présidentielle… Vraiment cette intervention en début d'année est d'une qualité exceptionnelle comparée à celle des Hollande, Sarkozy, Bayrou (transformée enmeeting)ou celle d'une Marine Le Pen en profitant pour courir après ses signatures qu'elle redoute de ne pas faire siennes appelant les Maires de France à ne pas contribuer ainsi à son oubli. Sa voix portera au-delà des barrières des sondages et viendra certainement bousculer le réalisme socialiste au delà de nos espérances. C'est pourquoi il demande dors et déjà un débat direct avec le candidat du Parti Socialiste pour clarifier les objectifs en matière de nucléaire, de planification économique associée au libre échange, de modification institutionnelle - son sens républicain risque d'être ici fondamental -, le plus important étant pour lui tout comme pour François Hollande de faire gagner la Gauche…
L'issue du débat proposé n'étant pas forcément connue d'avance, Jean-Luc Mélenchon, équipé d'un remarquable sens de la critique politique et d'une parole aiguisée, risque néanmoins d'en sortir légèrement au-dessus ou tout au moins parviendra-t-il, sans difficultés, à rendre nécessaire sa présence pour qu'un changement opérant puisse prendre forme. Et que peut-être s'apercevra-t-on alors que ses propositions sont plus efficaces et iraient plus loin que celles d'un François Hollande ; que l'économie doit
être vue sous un autre angle, que le flou et le vague des discours amènent à de la confusion et non à l'efficacité, qu'"il ne faut pas capituler ni avoir peur devant un banquier"et encore moins devant un candidat socialiste ! Résister et prendre le pouvoirlui convenir, ce qu'il compte bien semble conduire au sommet de l'État.