Présidentielles aux évanescentes surprises, aux paroles dites la veille, oubliées le lendemain ou la semaine suivante… Menaces d'impossibilité de réaliser leurs programmes même arrivés au second tour proférées vers les uns pour rendre indispensable ce qui est au pouvoir maintenant chez les autres ; la gauche, qu'il faudrait plutôt dénommer par "les différentes formations qui la constituent", se clame et se disperse encore un peu car elle n'a pas encore pris conscience entièrement de la grande découverte qu'elle aurait déjà depuis longtemps dû tirer du Capital…
Avec Jean-Luc Mélenchon l'économie n'est plus qu'un tiroir caisse, elle devient une notion de base qui égratigne les inégalités.
Présidentielles aux évanescentes surprises, aux paroles dites la veille, oubliées le lendemain ou la semaine suivante Menaces d'impossibilité de réaliser leurs programmes même arrivés au second tour proférées vers les uns pour rendre indispensable ce qui est au pouvoir maintenant chez les autres ; la gauche, qu'il faudrait plutôt dénommer par "les différentes formations qui la constituent", se clame et se disperse encore un peu car elle n'a pas encore pris conscience entièrement de la grande découverte qu'elle aurait déjà depuis longtemps dû tirer du Capital
En effet, à son époque, Karl Marx "théorisait" l ec a p i t a l i s m ea u t o u rd ep r i n c i p e s fondamentaux que nous n'avons pas oubliés m a i sc eq u in o u sf a i td é f a u te n c o r e aujourd'hui, c'est de ne pas entamer, ou de l ' a v o i ro u b l i é e ,l am ê m ed é m a r c h e conceptuelle que lui avait entrepris lorsqu'il analysait les "risques" de crises, les notions de bénéfices - plus values - investissements et, bien entendu ; sans quoi rien ne tournerait, établissait une répartition partagée ou e x p l o i t é ed e ss a l a i r e s .C ep r i n c i p e
fondamental, cette notion primordiale et définitive consisterait à chacun de nos calculs de taux de croissance en décroissance, qu'à chaque fiche de paye établie, qu'à chaque PIB ou PNB, que sur chaque salaire déduit figurerait la somme de tous ces profits évaporés (10 milliards passés de la poche du salariat dans celles du patronat qui auraient dû être redistribué vers le bas et non pas maintenir les plus grandes fortunes de ce monde). Hors, rien ne figure, mise à part la société au capital de tant et tant d'euros pour laquelle vous travaillez. Vous ne savez pas combien gagne votre patron et encore moins ce que se mettent dans les poches les actionnaires qui se servent sur le dos de votre sueur Donc tout semblerait équitablement réparti hormis ces 10 points "empruntés" d'arrache lutte à une évolution lente de l'augmentation du sic
Alors à tous ces milliardaires qui craignent le Front de Gauche, les "beaux rêves", "les sur-enchères" de Jean-Luc Mélenchon et peut-être aussi l'imposition qu'il établirait avec, trop risquée ; sachez qu'il faudra payer et que de votre statut de riche, vous redescendrez gentiment au stade de cadre supérieur plafonné de celui d'illimité où vous vous pavaniez ! Oh, certes vous resterez "riches",
aisés et sans craintes sur l'avenir, une angoisse en moins sur la gestion de votre patrimoine fiscal ou foncier mais vous aurez en même temps contribué à ce qu'un bon nombre de ce que vous appelleriez "pauvres" meurent moins vite, se nourrissent un peu mieux et finalement deviennent un peu plus retenus par rapport à la contestation de leurs revendications
Mais revenons à notre fiche de paye Là où chaque ouvrier se fait avoir, c'est que dans tous les calculs réalisés, paye du patron, salaires, coûts du travail etc il n'y a qu'une bonne moitié qui rentre en ligne de compte,dont on vous parle, l'autre partie restant entièrement à la disposition des spéculateurs aux fiscalisations paradisiaques ! C'est p u r e m e n td uv o le tu n ee x p l i c a t i o n suffisamment grossière pour rendre compte d'une telle inégalité entre les salaires et les niveaux de plafonnement C'est là qu'ils nous ont tous bien eu, depuis le Front Populaire et même avant car c'est véritablement avec le passage à la grande industrie que cette part spéculatrice, tranchée à la moitié du capital en p l e i ns o nm i l i e u ,r e s t ee tr e t o u r n e inéluctablement dans les poches du patronat qui ne perd jamais rien, retranché qu'il parvient, au pire des cas, à se prémunir de
plans d'austérités pour le développement ou de courbes de hausse du chômage en baisse Et c'est là aussi que Jean-Luc Mélenchon tape dans le mille car cette mise à plat de cette part des grandes richesses qui apparaissent toujours dans des magazines people, sous des triades de zéros qui n'en finissent plus mais jamais sur les fiches de paye, ce qui permettrait au salarié de savoir de combien il se fait escroquer ; constitue la voûte de l'édifice de son changement, le seul à pouvoir rassembler Le coffre-fort destiné à s'ouvrir pour le peuple, la possible ouverture vers une hausse des salaires ; l'enfin réalisé digne partage des richesses
Alors qu'on ne nous fasse pas des Mélenchon "baba" ou des Mélenchon "bibi" ; fricotin par-ci, fricotât par là Blabla de ci, de ça ! J-L Mélenchon n'a aucune raison d'apaiser les craintes et les angoisses des salariés en les rabaissant au simple contentement des légères augmentations que le système permettra toujours aux Hollande, Bayrou ou autres "droitiers" d'envisager ou de faire espérer François Hollande songe et plaisante sur des coffres qui seraient déjà vides, Jean-Luc Mélenchon s'empresse de les ouvrir avant qu'il n'y ait vraiment plus rien dedans ! Par conséquent, le meilleur conseil qu'on puisse
donner aux investisseurs en veille d'élections Présidentielles et Législatives c'est de tout injecter dans la matrice économique avant que nous n'arrivions au pouvoir, sinon après ils n'auront effectivement plus rien, si ils gardent tout puisqu'on leur le prendra sans retour de salaires en échange pour motif de tricherie ! C'est le moment idéal et bienvenu pour investir, après il faudra compter sur une moindre marge. Mais vous resterez riche, il n'y a rien à craindre ! C'est pas la peine de nous assagir en nous endormant avec des impossibilités qui n'en sont pas puisque vous détenez l'outil "argent", monétaire et financier qui fait tout tourner à l'envers. La crise n'est pas originale ou particulière, le problème c'est que trop nombreux sont devenus les avides pour les prises de bénéfices énormes instantanées, se taillant leur grande fortune pendant que pôles i n d u s t r i e l se tc e n t r e sd ec o n f e c t i o n fermaient portes et activités au détriment des règles de l'austérité et des salariés mis, à grande allure, dans des situations de p r é c a r i t é ,d ' i n s t a b i l i t éa l l a n td el a reconversion pour les plus chanceux à la radiation et au décrochage total pour les plus isolés Là où les travailleurs se sentaient abandonnés, Jean-Luc Mélenchon offre un toit à l'habitacle capitaliste qui, apparemment,