J’ai retrouvé un demi-siècle après, une petite « miniature » de la Kabylie de 1956 où mon père vécut intensément, à 35 ans, le drame Algérien. Ce n’est aucunement un travail d’historien, de sociologue, mais seulement le fruit de la passion, de la jeunesse ; on y trouve des portraits de paysages ou de personnages comme il savait si bien le faire. On y trouve une humanité fascinante : la vie quotidienne d’un peuple très ancien pris dans la tourmente de l’histoire au milieu du XX° siècle.
Une oeuvre posthume éditée par Henri Dumoulin, le fils, à la mémoire de son père Henri Dumoulin.
Voir