Nouvel habit à la « Fashion Victim »

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Vendredi 28 janvier 2011 à 14h, place de la Kasbah les manifestants sont toujours là.
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31 mars 2012

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Vendredi 28 janvier 2011 à 14h, place de la Kasbah les manifestants sont toujours là. Aperçu concernant l’état des lieux : la place fourmille de manifestants qui ne cèdent toujours pas, sachant que ces militants sont dépourvus de toutes forces. Des journalistes et photographes que ce soient locaux ou étrangers, des passagers qui, leur chemin était obligé, toutes les entrées à la place sont fermées une seule et unique qui soit ouverte celle qui donnait l’accès ….. depuis la M …..dina. Cette place a commencé à écrire une histoire de militants depuis dimanche 23 janvier 2011. Entre ceux qui font la grève de faim, et ceux qui refusent de parler, d’autres qui parlent sans arrêt, d’autres qui crient pour revendiquer, telle est la situation actuelle régnante. Des revendications partout : revendiquer, texte poétique rime à merveille avec les revendications qui couvrent les murs. Cette écriture remplie de sens est le seul moteur des manifestants qui les a toujours et naguère fait travailler. Une écriture qui embrasse le mur pour s’insurger à jamais. Seule la parole était larme, la seule et unique arme. Si nous condamnons cette arme qui ne puisse qu’être pacifiste au sein d’un état qualifié de démocratique que faire s’ilHé.. Tais dictateur ? Surement et sans aucun doute il fera le génocide. Tout était calme jusqu’à l’heure ou j’ai quitté la place, tout le monde parle avec tout le monde et aux militants qui persistaient et qui refusaient de rentrer ayant une seule conviction. Je précise, j’insiste et je réclame que tous ce que voulaient les manifestants se faisaient en toute paix. Que voulez-vous de plus un état pareil ne puisse qu’être correct tel était l’opinion de la majorité des tunisiens y compris moi-même. Jusque là tout allait bien, Vers le coup de 17h la police a commencé son show. Ayant de fausses alertes de la part de gamins. Et là le drame a mis ses pieds D’abord c’est du lacrymogène, ensuite la symphonie des balles étaient la musique adorée des policiers qui les a manqué comme quoi : Chassez le naturel, il revient au galop. Blessés, morts…. qui sera l'a..cul.. sééé. Surement pas .. Ne comprend plus rien, va comprendre, fais moi comprendre, le nouvel état dans son nouvel habit à la « Fashion victim » qui nous a fait tout comprendre.
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