Aéroport de Toulouse : Pour Marine Le Pen, il doit rester "public et français"

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La privatisation partielle de l’aéroport de Toulouse et le choix fait par l’Etat de céder 49,9% de ses parts à un consortium chinois constituent une faute de premier plan contre les intérêts de la France. Faute encore plus choquante quand on sait que le gouvernement a privilégié le Chinois aux candidats français.
Très clairement sur ce dossier, le gouvernement joue contre la France.
Brader des actifs aussi stratégiques que cet aéroport à des investisseurs étrangers est l’inverse d’une politique de développement économique de long terme et d’indépendance nationale. C’est d’autant plus vrai à Toulouse, où la présence du siège d’Airbus oblige à une vigilance encore plus grande vis-à-vis de tout investissement étranger dans ce secteur d’activité.
Non seulement l’Etat ne doit pas privatiser l’aéroport de Toulouse, mais il doit cesser l’indécente braderie de notre patrimoine national, conséquence logique d’une politique d’austérité idiote, sans but ni efficacité.
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Publié par

Publié le

05 décembre 2014

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Français

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