Bingo ! Jackpot !J'ai tiré le gros lot .Surprise, j'accepte mon cadeau. Cadeau volé, coeur brisé. A quoi bon gagné si ce n'est que pour pleurer ? Cadeau ensanglanté, ensorcelé, piégé. On ne peutrefuser un cadeau, ni le revendre ou le donner, ni même l'oublier dans un coin du placard à balais. On ne peut que vivre avec, souffrir, agoniser, suffoquer maisne jamais l'oublier. On ne peut pas, non, faire ça à cette personne là. On lui sourit, la remercie. On se rend soudainement compte de notre incroyable talentd'actrice.J'entends déjà l'acclamation du public lorsque je reçois mon premier césar de la meilleure actrice. Meilleure menteuse. Le premier césar, mais pas le dernier. J'enaurait profité pour la remercier, cette personne qui m'offre se si merveilleux cadeau. Un faux sourire, de fausses larmes de joies, une belle robe, mais trop serrécar en tan que star on connait les meilleurs restaurants de la capitale , et les régimes miraculeux ne sont pas autant rapide que l'on voudrait. J'aurai fini mondiscours en lui avouant que finalement, son cadeau, elle pouvait se le garder, que je n'en voulai pas. Je ne le supporte pas, garde-le, reprend-le, détruit-le, etmême mange-le. Fais de lui ce que bon te semble, puisque de toute façon il ne m'a jamais vraiment appartenu. Tu étais son seul bourreau, son seul maître. Tu eset tu resteras son propriétaire. Alors reprend ce qui t'appartient, reprend-le et fuis-moi. Laisse moi m'anéantir. Laisse (moi là, comme ce ...
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